Le Printemps
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Le Printemps
"…Printemps…"
(Au jardin… Avrillé -22-III-24)
Je me suis réveillé à l’aube du printemps,
En ce matin paré des fleurs du firmament,
Parmi les tulipes, qui s’ornent d’éclatant,
Et saluent la grandeur de l’astre se levant.
Ces tulipes nacrées étaient toutes pour toi,
Toi qui les aimais tant, elles te mettaient en joie,
Leurs hampes fièrement dressées entre tes doigts,
Elles te plongeaient, sans fin, dans un trouble, un émoi.
Ces tulipes empourprées, si frêlement écloses,
Offrant au monde, alors, leurs couleurs virtuoses,
Savaient aussi parler de l’amour grandiose,
Comme la plus noble fleur, la plus pure des roses.
La nature à travers ses voiles de parfum,
Aime à nous rappeler en ces moindres matins,
Que le printemps nouveau, ce farouche mutin,
Se plaît à éveiller nos sens les plus taquins.
Et le soleil, enfin, de ses rayons si pâles,
Soufflait, avidement, dans un timide râle,
Sur les braises noircies d’un funeste rival,
Cet hiver qui s’en va, au lointain boréal.
Et la jeune saison, dans un pudique effort,
Qui fait jaillir la sève, en réchauffant les corps,
Laisse, là, les amants, sans le moindre remord,
S’abandonner, heureux, à leur vernal essor.
Bgn
(Au jardin… Avrillé -22-III-24)
Je me suis réveillé à l’aube du printemps,
En ce matin paré des fleurs du firmament,
Parmi les tulipes, qui s’ornent d’éclatant,
Et saluent la grandeur de l’astre se levant.
Ces tulipes nacrées étaient toutes pour toi,
Toi qui les aimais tant, elles te mettaient en joie,
Leurs hampes fièrement dressées entre tes doigts,
Elles te plongeaient, sans fin, dans un trouble, un émoi.
Ces tulipes empourprées, si frêlement écloses,
Offrant au monde, alors, leurs couleurs virtuoses,
Savaient aussi parler de l’amour grandiose,
Comme la plus noble fleur, la plus pure des roses.
La nature à travers ses voiles de parfum,
Aime à nous rappeler en ces moindres matins,
Que le printemps nouveau, ce farouche mutin,
Se plaît à éveiller nos sens les plus taquins.
Et le soleil, enfin, de ses rayons si pâles,
Soufflait, avidement, dans un timide râle,
Sur les braises noircies d’un funeste rival,
Cet hiver qui s’en va, au lointain boréal.
Et la jeune saison, dans un pudique effort,
Qui fait jaillir la sève, en réchauffant les corps,
Laisse, là, les amants, sans le moindre remord,
S’abandonner, heureux, à leur vernal essor.
Bgn
Bgn- Messages : 15
Date d'inscription : 06/10/2023
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